“Sou entre flor e nuvem. Por que havemos de ser unicamente humanos? Não encontro caminhos fáceis de andar. E por isso levito. É bom deixar um pouco de ternura em cada lugar” (Cecília Meireles)
quinta-feira, 23 de setembro de 2010
il y a toujours
La nuit n'est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l'affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouverte Une fenêtre éclairée Il y a toujours un rêve qui veille Désir à combler faim à satisfaire Un coeur généreux Une main tendue une main ouverte Des yeux attentifs Une vie la vie à se partager.
Une main tendue une main ouverte Un coeur qui vous attend Dans cette vie et dans d'autres Toujours à la recherche d'écouter votre nom Dans le vent, le mer, le bruit et le silence.
Nous avons fait la nuit je tiens ta main je veille Je te soutiens de toutes mes forces Je grave sur un roc l'étoile de tes forces Sillons profonds où la bonté de ton corps germera Je me répète ta voix cachée ta voix publique Je ris encore de l'orgueilleuse que tu traites comme une mendiante Des fous que tu respectes des simples où tu te baignes Et dans ma tête qui se met doucement d'accord avec la tienne avec la nuit Je m'émerveille de l'inconnue semblable à toi semblable à tout ce que j'aime Qui est toujours nouveau.
Oui j'ai eu le plaisir d'une nouvelle couche pour un travail de français que j'avais à la fin du cours à mon école secondaire. Il fut aussi l'époque de la dictature en Espagne, où les gens avaient des idées progressistes et nous n'étions pas encore "comodones" (original en espagnol)
Une main tendue une main ouverte
ResponderEliminarUn coeur qui vous attend
Dans cette vie et dans d'autres
Toujours à la recherche d'écouter votre nom
Dans le vent, le mer, le bruit et le silence.
A restructured poem by Seringador
Nous avons fait la nuit je tiens ta main je veille
ResponderEliminarJe te soutiens de toutes mes forces
Je grave sur un roc l'étoile de tes forces
Sillons profonds où la bonté de ton corps germera
Je me répète ta voix cachée ta voix publique
Je ris encore de l'orgueilleuse
que tu traites comme une mendiante
Des fous que tu respectes des simples où tu te baignes
Et dans ma tête qui se met doucement d'accord avec la tienne avec la nuit
Je m'émerveille de l'inconnue semblable à toi semblable à tout ce que j'aime
Qui est toujours nouveau.
(c) Paul Eluard
j'aime vraiment la reconstruction du poème
ResponderEliminaret tu sais? il y aura toujours...
Kendito, gostas de Paul Éluard?
Oui j'ai eu le plaisir d'une nouvelle couche pour un travail de français que j'avais à la fin du cours à mon école secondaire.
ResponderEliminarIl fut aussi l'époque de la dictature en Espagne, où les gens avaient des idées progressistes et nous n'étions pas encore "comodones" (original en espagnol)
Beijos (en portugés :-)
besos (em castelhano) :)
ResponderEliminare quando se tornaram "comodones"?
Ahhhhh! no lo sé querida amiga, meiga maga.
ResponderEliminarSmuakssss (en internacional jajajaj)